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La FoodTech, l’un des 9 réseaux de startups françaises se structure

26/07/2016
M. R.
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Le ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron, et la secrétaire d’État en charge du Numérique, Axelle Lemaire, ont dévoilé la constitution des réseaux thématiques de la French Tech, le 25 juillet à Laval. Parmi eux, ceux de la FoodTech qui porte sur l’agriculture, l’agronomie, l’alimentaire, l’alimentation et la restauration et du Manufacturing (robots, drones, objets connectés, impression 3D,…) sont susceptibles d’intéresser plus particulièrement les filières céréalières. 

Volonté de rayonnement à l’international

La French Tech désigne l’ensemble des actions du gouvernement pour fédérer, faciliter les interactions, accompagner et promouvoir les startups et l’innovation françaises. Bourses, fonds, dispositifs d’accompagnement… Divers outils ont été mis en place pour épauler les entrepreneurs  « du lancement, au développement et à la projection à l’international », résume le dossier de presse du ministère. C’est dans cette logique qu’ont été initiées, en novembre 2014, des Métropoles French Tech. Ce label a été attribué à 13 villes pour assurer un maillage de la dynamique sur le territoire. Environ 1000 porteurs de projets auraient déjà bénéficié de subventions pour un total de 26 M€. L’état a souhaité pousser « un cran plus loin pour structurer l’écosystème français », en initiant 9 réseaux thématiques, qui dédère 21 territoires supplémentaires. L’objectif est de « regrouper des entrepreneurs spécialisés dans un même domaine, pour les aider à faire face ensemble à leurs problématiques, et gagner en visibilité », explique le document. 9 thématiques ont ainsi été créées : HealthTech, BioTech, MedTech, e-sante, IoT, Manufacturing EdTech Entertainment, CleanTech, Mobility, FinTech, Security, Privacy, Retail, FoodTech et Sports. Leur pertinence sera réévaluée au bout de deux ans.

Les membres de chacun d’eux sont tenus d’élaborer une feuille de route pour novembre prochain. Ils sont tenus d’identifier et cartographier les start-ups de leur ecosystème, coodonner les actions et surtout « élaborer d’une stratégie ambitieuse à l’international »... D’où la consonnance anglosaxone des noms de baptème des réseaux.

 

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