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D'importants investissements ont été entrepris depuis quelques années pour le stockage des céréales. En 10 ans, la capacité de stockage de collecte a plus que doublé. Elle est passée de 7 millions de tonnes en juillet 1963 à 15,8 millions de tonnes en janvier 1973. C'est d'autre part pendant cette période que notre infrastructure en silos portuaires a été mise en place. Plusieurs silos importants destinés au report ont aussi vu le jour. Dans l'avenir on s'attend à de nouveaux développements de la production céréalière. Ceux-ci résulteraient de la progression régulière des rendements (blé), de l'augmentation attendue des superficies emblavées (maïs). Il n'est pas exclu non plus que l'accent soit mis sur la production de graines riches en matières protéiques (féverole, soja, etc.). La capacité de stockage de céréales dont dispose notre pays étant insuffisante pour faire face aux besoins actuels, on peut donc penser que le rythme des constructions continuera de se maintenir dans les mois sinon les années à venir. Dans ces conditions, il a paru intéressant de faire le point des techniques utilisées pour la construction des silos, des évolutions enregistrées jusqu'à présent et des tendances qui se manifestent. Tel est l'objet de cet article.

Article complet à lire dans le bulletin EFM numéro 259, page(s) 034-041, référence 259/034.